L'intrigue s'épaissit. Quelques semaines seulement après la trêve commerciale entre Trump et Xi à Busan, le département du Commerce explore discrètement s'il faut laisser Nvidia vendre ses puces H200 aux entreprises chinoises—un mouvement qui renverserait essentiellement des décennies de politique de contrôle des exportations.
Voici ce qui est réellement sur la table :
Le H200 de Nvidia est une bête—environ 2x plus puissant que le H20 qui est actuellement le plafond des ventes en Chine. Si le feu vert est donné, Nvidia déverrouille un marché de $50 milliards qui pourrait atteindre $200 milliards d'ici 2030. Pour Jensen Huang, qui a fait un lobbying acharné pour cela, c'est l'affaire du siècle.
Mais c'est là que ça devient épicé :
Le problème du Security Hawk : Les faucons du Sénat préparent déjà une législation pour bloquer tout assouplissement des règles d'exportation de puces. Leur argument ? Donner à la Chine des semi-conducteurs AI avancés pourrait supercharger ses capacités militaires. Ce n'est pas de la paranoïa, c'est un calcul stratégique.
Le Chaos du Marché : Lorsque la nouvelle a éclaté, les fabricants de puces chinois ont connu un mini-effondrement. Cambricon a chuté avant de rebondir. SMIC et Hua Hong ont pris des L. Pourquoi ? Parce que si les puissantes puces d'Nvidia inondent le marché, les alternatives locales deviennent de seconde zone. La Chine a investi des milliards dans l'indépendance des semi-conducteurs, et ce mouvement pourrait compromettre tous ces efforts.
Les enjeux réels :
Si approuvé : Nvidia reprend des parts de marché, la Chine obtient du matériel d'IA de pointe, les tensions géopolitiques s'apaisent légèrement
Si bloqué : le statu quo demeure, la Chine accélère le développement de puces indigènes, la guerre froide technologique entre les États-Unis et la Chine s'intensifie
Vraiment? Cela crie le pragmatisme plutôt que l'idéologie—Trump joue aux échecs 4D entre les intérêts commerciaux ( le lobbying de Nvidia + les profits technologiques ) et les faucons de la sécurité nationale. Le résultat indique si les États-Unis pivotent réellement vers une concurrence légère avec Pékin ou si les durs détiennent encore le pouvoir de veto.
Pendant ce temps, la Corée du Sud est la vraie gagnante : elle obtient plus de 260 000 puces Nvidia pour un coup de pouce à l'infrastructure $10B AI pendant que les États-Unis trient leur propre guerre civile sur la politique chinoise.
Surveillez les annonces du ministère du Commerce ensuite. Cela se décide dans des bureaux bureaucratiques, pas dans des communiqués de presse.
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La stratégie de puces de Trump : l'Amérique est-elle sur le point de remettre à Nvidia une mine d'or chinoise ?
L'intrigue s'épaissit. Quelques semaines seulement après la trêve commerciale entre Trump et Xi à Busan, le département du Commerce explore discrètement s'il faut laisser Nvidia vendre ses puces H200 aux entreprises chinoises—un mouvement qui renverserait essentiellement des décennies de politique de contrôle des exportations.
Voici ce qui est réellement sur la table :
Le H200 de Nvidia est une bête—environ 2x plus puissant que le H20 qui est actuellement le plafond des ventes en Chine. Si le feu vert est donné, Nvidia déverrouille un marché de $50 milliards qui pourrait atteindre $200 milliards d'ici 2030. Pour Jensen Huang, qui a fait un lobbying acharné pour cela, c'est l'affaire du siècle.
Mais c'est là que ça devient épicé :
Le problème du Security Hawk : Les faucons du Sénat préparent déjà une législation pour bloquer tout assouplissement des règles d'exportation de puces. Leur argument ? Donner à la Chine des semi-conducteurs AI avancés pourrait supercharger ses capacités militaires. Ce n'est pas de la paranoïa, c'est un calcul stratégique.
Le Chaos du Marché : Lorsque la nouvelle a éclaté, les fabricants de puces chinois ont connu un mini-effondrement. Cambricon a chuté avant de rebondir. SMIC et Hua Hong ont pris des L. Pourquoi ? Parce que si les puissantes puces d'Nvidia inondent le marché, les alternatives locales deviennent de seconde zone. La Chine a investi des milliards dans l'indépendance des semi-conducteurs, et ce mouvement pourrait compromettre tous ces efforts.
Les enjeux réels :
Vraiment? Cela crie le pragmatisme plutôt que l'idéologie—Trump joue aux échecs 4D entre les intérêts commerciaux ( le lobbying de Nvidia + les profits technologiques ) et les faucons de la sécurité nationale. Le résultat indique si les États-Unis pivotent réellement vers une concurrence légère avec Pékin ou si les durs détiennent encore le pouvoir de veto.
Pendant ce temps, la Corée du Sud est la vraie gagnante : elle obtient plus de 260 000 puces Nvidia pour un coup de pouce à l'infrastructure $10B AI pendant que les États-Unis trient leur propre guerre civile sur la politique chinoise.
Surveillez les annonces du ministère du Commerce ensuite. Cela se décide dans des bureaux bureaucratiques, pas dans des communiqués de presse.