[Nouvelle-Zélande : la FMA lance une consultation sur la tokenisation, explorant les obstacles réglementaires] L'Autorité des marchés financiers de Nouvelle-Zélande (FMA) a lancé une consultation sur la tokenisation jusqu'à la fin octobre, visant à clarifier si la réglementation actuelle entrave le développement de la tokenisation - cette année, l'agence a reçu de nombreuses consultations sur la tokenisation, mais peu de projets concrets. Elle a indiqué que la tokenisation est actuellement orientée vers des entités déjà réglementées, les startups étant dissuadées par le coût élevé des licences et les barrières à l'entrée, ce qui les pousse à opérer en dehors du cadre réglementaire, affaiblissant ainsi la protection des consommateurs. À l'échelle mondiale, certaines startups se tournent également vers des marchés étrangers à réglementation plus souple.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
La FMA de Nouvelle-Zélande lance une consultation sur la tokenisation, explorant les obstacles réglementaires
[Nouvelle-Zélande : la FMA lance une consultation sur la tokenisation, explorant les obstacles réglementaires] L'Autorité des marchés financiers de Nouvelle-Zélande (FMA) a lancé une consultation sur la tokenisation jusqu'à la fin octobre, visant à clarifier si la réglementation actuelle entrave le développement de la tokenisation - cette année, l'agence a reçu de nombreuses consultations sur la tokenisation, mais peu de projets concrets. Elle a indiqué que la tokenisation est actuellement orientée vers des entités déjà réglementées, les startups étant dissuadées par le coût élevé des licences et les barrières à l'entrée, ce qui les pousse à opérer en dehors du cadre réglementaire, affaiblissant ainsi la protection des consommateurs. À l'échelle mondiale, certaines startups se tournent également vers des marchés étrangers à réglementation plus souple.