Nous sommes maintenant au second semestre de 2025, et le sujet des discussions sur l'intelligence artificielle a considérablement changé. Nous ne sommes plus simplement émerveillés par les capacités de peinture ou de programmation de l'IA, mais nous nous concentrons davantage sur le fait que l'IA est désormais omniprésente, infiltrant chaque coin de notre vie, comme l'eau et l'électricité. Cela soulève une question plus profonde : qui contrôle ces systèmes d'IA ?
Les processus de décision algorithmique que nous utilisons quotidiennement sont souvent opaques. Les données utilisées pour entraîner ces modèles peuvent contenir des biais que nous ne pouvons pas percevoir. Plus important encore, l'objectif ultime de ces systèmes d'IA est-il de servir les entreprises qui les créent, ou de bénéficier au public ? Cette question est devenue l'un des défis de gouvernance les plus épineux de notre époque.
En réfléchissant à la manière de redonner un certain contrôle aux gens ordinaires à l'ère de l'IA, le projet OpenLedger propose une solution qui présente des caractéristiques Web3. L'objectif de ce projet n'est pas seulement de développer un autre outil d'IA, mais de s'engager à construire un cadre de gouvernance transparent et communautaire pour l'IA.
Nous pouvons comprendre ce concept par analogie avec la structure d'une entreprise : dans le modèle OpenLedger, les membres de la communauté qui fournissent le jeu de données central pour l'IA ressemblent à des 'actionnaires fondateurs' de l'entreprise. Ils ne sont pas seulement des fournisseurs de ressources, mais jouent également un rôle important en ayant une voix sur les 'gènes' de l'IA et sur la direction future de son développement dès le départ.
Le mécanisme de gouvernance on-chain dans ce modèle ressemble à un règlement d'entreprise exécutable. Il garantit la transparence de tous les processus décisionnels tout en veillant à ce que les droits de chaque participant soient respectés et appliqués. Ce mode de gouvernance décentralisé offre une approche innovante pour résoudre la question de la répartition du pouvoir à l'ère de l'IA.
Bien qu'une solution d'OpenLedger soit encore à un stade exploratoire, elle représente une nouvelle façon de penser sur la manière de protéger les droits des utilisateurs ordinaires dans un contexte de technologie AI en rapide évolution. Alors que l'IA continue de transformer nos vies, cette tentative d'appliquer les principes Web3 à la gouvernance de l'IA pourrait bien indiquer un avenir technologique plus juste et transparent.
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· Il y a 7h
Qui a dit que l'IA devait être transparente ?
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· Il y a 7h
Attention, ce piège est encore pour prendre les gens pour des idiots.
Nous sommes maintenant au second semestre de 2025, et le sujet des discussions sur l'intelligence artificielle a considérablement changé. Nous ne sommes plus simplement émerveillés par les capacités de peinture ou de programmation de l'IA, mais nous nous concentrons davantage sur le fait que l'IA est désormais omniprésente, infiltrant chaque coin de notre vie, comme l'eau et l'électricité. Cela soulève une question plus profonde : qui contrôle ces systèmes d'IA ?
Les processus de décision algorithmique que nous utilisons quotidiennement sont souvent opaques. Les données utilisées pour entraîner ces modèles peuvent contenir des biais que nous ne pouvons pas percevoir. Plus important encore, l'objectif ultime de ces systèmes d'IA est-il de servir les entreprises qui les créent, ou de bénéficier au public ? Cette question est devenue l'un des défis de gouvernance les plus épineux de notre époque.
En réfléchissant à la manière de redonner un certain contrôle aux gens ordinaires à l'ère de l'IA, le projet OpenLedger propose une solution qui présente des caractéristiques Web3. L'objectif de ce projet n'est pas seulement de développer un autre outil d'IA, mais de s'engager à construire un cadre de gouvernance transparent et communautaire pour l'IA.
Nous pouvons comprendre ce concept par analogie avec la structure d'une entreprise : dans le modèle OpenLedger, les membres de la communauté qui fournissent le jeu de données central pour l'IA ressemblent à des 'actionnaires fondateurs' de l'entreprise. Ils ne sont pas seulement des fournisseurs de ressources, mais jouent également un rôle important en ayant une voix sur les 'gènes' de l'IA et sur la direction future de son développement dès le départ.
Le mécanisme de gouvernance on-chain dans ce modèle ressemble à un règlement d'entreprise exécutable. Il garantit la transparence de tous les processus décisionnels tout en veillant à ce que les droits de chaque participant soient respectés et appliqués. Ce mode de gouvernance décentralisé offre une approche innovante pour résoudre la question de la répartition du pouvoir à l'ère de l'IA.
Bien qu'une solution d'OpenLedger soit encore à un stade exploratoire, elle représente une nouvelle façon de penser sur la manière de protéger les droits des utilisateurs ordinaires dans un contexte de technologie AI en rapide évolution. Alors que l'IA continue de transformer nos vies, cette tentative d'appliquer les principes Web3 à la gouvernance de l'IA pourrait bien indiquer un avenir technologique plus juste et transparent.