La Réserve fédérale (FED) a connu un "élément étranger" intéressant en son sein.



Le Milan, qui vient de prendre ses fonctions au conseil en septembre de cette année, a un style de vote qui est clairement différent de celui des autres fonctionnaires. Alors que les autres pèsent encore les données sur l'inflation et les rapports sur l'emploi, il a déjà soutenu à plusieurs reprises lors des dernières réunions une "forte baisse des taux d'intérêt" — lors de la réunion de politique monétaire de la semaine dernière, il a même voté contre et a publiquement appelé à une baisse de 50 points de base d'un seul coup. Cette "rigidité" est en effet rare dans le cercle décisionnel de La Réserve fédérale (FED), qui privilégie habituellement le consensus.

Le parcours de Milan peut en partie expliquer sa position. Ce membre du conseil est en réalité "en congé temporaire" de son poste de conseiller économique senior à la Maison Blanche, et il porte en lui le gène de "préserver la croissance" du système administratif. Dans un système de la Réserve fédérale (FED) qui met l'accent sur l'indépendance, ce contexte rend sa voix particulièrement dissonante.

Le marché soulève des questions : avec la hausse des marchés boursiers et la baisse des coûts d'emprunt des entreprises, pourquoi continuez-vous à parler de baisse des taux d'intérêt ? N'est-ce pas suffisant avec la politique monétaire déjà accommodante ? Milan n'adhère pas à cette logique. Son point de vue est clair : il ne faut pas se concentrer uniquement sur l'effervescence des marchés financiers. La flambée des actions peut être due à une amélioration des attentes de bénéfices des entreprises, à une afflux de capitaux mondiaux, ou peut-être simplement à un appétit pour le risque. L'équation "hausse des marchés boursiers = politique monétaire trop accommodante" ne tient pas.

Ce qui préoccupe vraiment Milan, ce sont les secteurs qui sont très sensibles aux taux d'intérêt. L'immobilier, la consommation de biens durables, les dépenses d'investissement des entreprises - pour lui, le "froid" dans ces domaines devrait susciter plus d'inquiétude que le "chaud" de Wall Street. La nécessité d'une baisse des taux doit être jugée à partir de la température de l'économie réelle, et non pas en regardant les chiffres qui bougent sur l'écran de trading.
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SchroedingerAirdropvip
· 11-04 09:14
Quand va-t-il vraiment baisser les taux d'intérêt ? Je ne peux plus attendre !
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OffchainOraclevip
· 11-04 08:58
Ce gars de Milan voit vraiment clair.
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MidnightGenesisvip
· 11-04 08:58
La surveillance montre qu'il y a encore un traître qui s'en mêle.
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MidnightSnapHuntervip
· 11-04 08:57
Baissons les taux d'intérêt de manière claire et nette.
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FrontRunFightervip
· 11-04 08:46
manipulation d'initiés en cours... milan n'est qu'un autre pion de la fed dans ce jeu smh
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NFT_Therapy_Groupvip
· 11-04 08:35
La baisse des taux d'intérêt est si déterminée, il semble que ce soit des gens de Washington.
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