Les prix du pétrole viennent de subir un coup alors que les négociations de paix entre l'Ukraine et la Russie s'intensifient. Le brut WTI a chuté de 1,59 % vendredi, l'essence a baissé de 1,62 %—atteignant tous deux des plus bas de 4 semaines. Le dollar plus fort n'a pas non plus aidé.
Voici le rebondissement : Alors que les espoirs de paix ont fait baisser les prix, l'accord réel s'est effondré lorsque l'Ukraine et les alliés de l'UE ont rejeté des conditions clés. Résultat ? Le pétrole s'est redressé après ses pires niveaux.
La situation globale est chaotique. L'OPEP a changé son outlook pour le T3, passant d'un déficit de 400k b/j à un surplus de 500k b/j ( La production américaine est en pleine expansion ). Mais les exportations de brut de la Russie sont en chute libre—descendues à 1,7M b/j ( un niveau bas en 3 ans ) après que les frappes de drones ukrainiens aient détruit 13 à 20 % de la capacité de raffinage. Les nouvelles sanctions US-UE aggravent la situation.
Pendant ce temps, le risque géopolitique est omniprésent : l'Iran a saisi un pétrolier, les États-Unis se montrent menaçants près du Venezuela (, le 12ème plus grand producteur mondial ), et l'AIE prévoit un excédent record de 4 millions de barils par jour de pétrole dans le monde en 2026. L'OPEP+ met en pause les augmentations de production le trimestre prochain en raison de l'excédent.
La conclusion ? Les espoirs d'accord de paix = baissiers pour le pétrole. Mais le chaos de l'approvisionnement en Russie + des tensions géopolitiques plus larges = un certain soutien sous-jacent. Un tir à la corde classique sur le marché pétrolier.
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Les prix du pétrole viennent de subir un coup alors que les négociations de paix entre l'Ukraine et la Russie s'intensifient. Le brut WTI a chuté de 1,59 % vendredi, l'essence a baissé de 1,62 %—atteignant tous deux des plus bas de 4 semaines. Le dollar plus fort n'a pas non plus aidé.
Voici le rebondissement : Alors que les espoirs de paix ont fait baisser les prix, l'accord réel s'est effondré lorsque l'Ukraine et les alliés de l'UE ont rejeté des conditions clés. Résultat ? Le pétrole s'est redressé après ses pires niveaux.
La situation globale est chaotique. L'OPEP a changé son outlook pour le T3, passant d'un déficit de 400k b/j à un surplus de 500k b/j ( La production américaine est en pleine expansion ). Mais les exportations de brut de la Russie sont en chute libre—descendues à 1,7M b/j ( un niveau bas en 3 ans ) après que les frappes de drones ukrainiens aient détruit 13 à 20 % de la capacité de raffinage. Les nouvelles sanctions US-UE aggravent la situation.
Pendant ce temps, le risque géopolitique est omniprésent : l'Iran a saisi un pétrolier, les États-Unis se montrent menaçants près du Venezuela (, le 12ème plus grand producteur mondial ), et l'AIE prévoit un excédent record de 4 millions de barils par jour de pétrole dans le monde en 2026. L'OPEP+ met en pause les augmentations de production le trimestre prochain en raison de l'excédent.
La conclusion ? Les espoirs d'accord de paix = baissiers pour le pétrole. Mais le chaos de l'approvisionnement en Russie + des tensions géopolitiques plus larges = un certain soutien sous-jacent. Un tir à la corde classique sur le marché pétrolier.