#美联储重启降息步伐 À trois heures du matin, la lumière de l’écran me brûle les yeux. Je fixe le solde de mon wallet, hagard : 1 200 U.

La souris flotte sur le bouton « désinstaller », et en boucle dans ma tête tourne cette phrase : « Peut-être que je n’aurais jamais dû toucher à ce secteur. »

20 000 yuans de capital de départ, trois mois d’efforts, et il ne me reste plus qu’un reste de capital. Ce n’est pas l’argent perdu qui me fait mal, mais cette sensation d’être sans cesse giflé par le marché, de voir ma confiance broyée en poussière. À chaque fois que je crois saisir une opportunité, je me fais prendre à contre-pied ; plus j’essaie de me refaire, plus je perds vite.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi. J’ai relu chaque transaction, comme si je disséquais mon propre échec.

Arrivé à la quarantième transaction, j’ai soudain compris : ce n’est pas le marché qui me piégeait, c’est moi-même.

À partir de là, j’ai commencé à réanalyser frénétiquement. J’ai étudié comment les gros porteurs accumulent, comment ils secouent le marché, j’ai surveillé les variations des indicateurs de sentiment, j’ai décortiqué chaque point d’entrée pour comprendre la logique derrière. J’ai noté chacune de mes erreurs passées, et je les ai corrigées une à une.

Six mois plus tard, le solde de mon compte affichait 280 000 U.

En voyant ce chiffre, j’ai souri. Pas parce que j’avais multiplié ma mise, mais parce que cela venait confirmer une chose : sur ce marché, tes connaissances peuvent littéralement se transformer en profits.

Aujourd’hui, beaucoup pensent que je suis prudent et précis, que je suis fait pour le trading. Mais ils ne savent pas que, moi aussi, j’ai connu des chocs, des nuits blanches à cause des pertes, des moments où j’ai failli tout abandonner.

Ces compétences, c’est le marché qui me les a gravées à coups de couteau.

Maintenant, quand je passe des ordres, je reste en retrait quand d’autres se ruent à l’achat, j’attends des signaux de confirmation quand les autres paniquent et achètent le creux, je me montre plus discipliné quand d’autres multiplient les trades. Parce que je sais : ceux qui survivent ne sont pas des génies, mais ceux qui se relèvent des chutes et apprennent à couper leurs pertes.

Les leçons coûteuses acquises avec de l’argent réel sont devenues la base de mes analyses actuelles. Ce n’est pas de l’ésotérisme, ce sont les lois du marché, apprises à la dure.

Beaucoup de débutants me demandent : « Comment éviter les pertes ? »

Je ne raconte jamais d’histoires de richesse rapide, mais je peux te dire comment éviter les pièges et les détours. Les erreurs que j’ai faites, tu n’as pas besoin de les refaire.

Le marché sera toujours là, mais les opportunités n’appartiennent qu’à ceux qui survivent.

Si tu es en train de souffrir de pertes, de sombrer dans tes émotions, de douter de toi-même, retiens ceci :

Apprends à survivre, c’est plus important que de chercher à doubler ta mise.

Survivre, c’est la plus grande victoire sur ce marché.