#通货膨胀 En voyant les déclarations récentes de Powell, je me suis rappelé cette période de 2021. À l'époque, tout le monde débattait pour savoir si l'inflation était "temporaire" ou "structurelle", la banque centrale retardant à plusieurs reprises la hausse des taux, et le marché pariant à chaque fois sur une politique plus accommodante. Et le résultat, c’est que le cycle de hausse des taux de 2022 est arrivé à l’improviste, et beaucoup ont été mis à mal dans cette vague.
La situation actuelle présente quelques similitudes, mais aussi des différences. Powell dit que le risque d’inflation est orienté à la hausse, et que la trajectoire de politique monétaire est sans risque — cette phrase ressemble à un aveu : nous sommes coincés au milieu. D’un côté, les tarifs douaniers et la géopolitique pourraient faire grimper les prix, de l’autre, le marché du travail se refroidit mais n’est pas encore vraiment gelé. Les divergences internes à la Fed en disent long : Goolsbee veut attendre les données, Schmid pense que l’inflation est encore trop élevée, et Posen réfléchit à la question de savoir si la productivité liée à l’IA ou le risque d’inflation a le plus de poids.
Cela me rappelle la période 2015-2016, où les banques centrales mondiales se battaient chacune selon leur logique économique, et où le marché a connu de fortes turbulences. L’histoire ne se répète pas, mais elle rime toujours. Si les tarifs douaniers poussent vraiment les prix comme prévu, et si la Fed retarde ses actions à cause de la douceur du marché du travail, nous pourrions être en train de préparer une nouvelle phase de découverte des prix. Le prochain acteur de cette histoire, c’est encore à surveiller.
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#通货膨胀 En voyant les déclarations récentes de Powell, je me suis rappelé cette période de 2021. À l'époque, tout le monde débattait pour savoir si l'inflation était "temporaire" ou "structurelle", la banque centrale retardant à plusieurs reprises la hausse des taux, et le marché pariant à chaque fois sur une politique plus accommodante. Et le résultat, c’est que le cycle de hausse des taux de 2022 est arrivé à l’improviste, et beaucoup ont été mis à mal dans cette vague.
La situation actuelle présente quelques similitudes, mais aussi des différences. Powell dit que le risque d’inflation est orienté à la hausse, et que la trajectoire de politique monétaire est sans risque — cette phrase ressemble à un aveu : nous sommes coincés au milieu. D’un côté, les tarifs douaniers et la géopolitique pourraient faire grimper les prix, de l’autre, le marché du travail se refroidit mais n’est pas encore vraiment gelé. Les divergences internes à la Fed en disent long : Goolsbee veut attendre les données, Schmid pense que l’inflation est encore trop élevée, et Posen réfléchit à la question de savoir si la productivité liée à l’IA ou le risque d’inflation a le plus de poids.
Cela me rappelle la période 2015-2016, où les banques centrales mondiales se battaient chacune selon leur logique économique, et où le marché a connu de fortes turbulences. L’histoire ne se répète pas, mais elle rime toujours. Si les tarifs douaniers poussent vraiment les prix comme prévu, et si la Fed retarde ses actions à cause de la douceur du marché du travail, nous pourrions être en train de préparer une nouvelle phase de découverte des prix. Le prochain acteur de cette histoire, c’est encore à surveiller.