La croissance rapide de l'IA est en train d'absorber de l'énergie. Les émissions de carbone générées par l'entraînement d'un grand modèle de langage équivalent aux émissions totales de cinq voitures sur toute leur durée de vie — ce chiffre est alarmant.
Actuellement, l'économie agentique (Agentic Economy) est sur le point d'exploser, des centaines de millions d'agents IA fonctionneront 24 heures sur 24 sur le réseau mondial, consommant frénétiquement de la puissance de calcul à chaque seconde. La hausse des coûts d'électricité, l'empreinte carbone explosive... ces problèmes ne sont plus des enjeux futurs, mais une réalité devant nos yeux. Pire encore, avec des normes ESG (environnement, social, gouvernance) de plus en plus strictes, les infrastructures IA au niveau entreprise pourraient faire face à des exigences obligatoires — votre puissance de calcul ne peut pas être alimentée par de "l'électricité sale", elle doit provenir d'énergie propre.
C'est le défi central que Kite AI cherche à relever : dans un marché décentralisé de la puissance de calcul, comment suivre la véritable origine de chaque kilowattheure, pour que chaque réflexion de l'IA soit verte ?
La situation est très préoccupante — le marché traditionnel de la transaction de puissance de calcul ne se soucie que d’un seul indicateur : la performance de calcul (FLOPS), peu importe quelle centrale électrique alimente ce GPU, si c’est du charbon ou de l’éolien, personne ne s’en préoccupe. La puissance de calcul que vous louez est comme une boîte à surprises, impossible de retracer son empreinte carbone. Ce manque de "transparence énergétique" rend presque impossible la réalisation d’audits carbone dans un réseau décentralisé.
C’est là que se trouve la véritable ligne de démarcation. L’innovation de Kite AI réside dans l’introduction de la couche d’exécution machine (Machine Execution Layer), et dans la conception d’un mécanisme de routage sensible au carbone (Carbon-Aware Routing). En termes simples, il s’agit de faire en sorte que la puissance de calcul ne soit plus simplement une unité de calcul froide, mais une ressource dotée d’un "certificat environnemental" — chaque unité de puissance doit inclure ses données sur la source d’énergie et ses émissions de carbone.
Au niveau de l’infrastructure, Kite AI réalise une intégration interopérable avec le réseau d’énergie DePIN (Infrastructure Physique Décentralisée), créant ainsi un écosystème de puissance de calcul transparent et traçable. Ce n’est pas seulement une mise à niveau technologique, mais le début d’une redéfinition de la valeur de la puissance de calcul.
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MidnightMEVeater
· Il y a 8h
Bonjour à tous les noctambules, la manœuvre du loto de la puissance de calcul commence enfin à être démantelée. La consommation de carbone de cinq véhicules équivaut-elle à un grand modèle ? Honnêtement, je suis habitué à ce chiffre, la plage d'arbitrage est si large.
L’essentiel est de savoir qui détient le pouvoir de fixer le prix de "l’électricité sale" et de "l’énergie propre", c’est là le véritable attaque en sandwich. La route de la perception du carbone de Kite semble séduisante, mais l’audit décentralisé n’a jamais été une question technique — c’est une question d’humanité, mon ami.
Les échanges de puissance de calcul à minuit sont déjà un paradis pour les pools obscurs, et maintenant on veut rendre la empreinte carbone transparente ? Ne serait-ce pas simplement un nouvel outil pour que les grands capitaux en prennent encore plus ?
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AirdropworkerZhang
· Il y a 8h
Green computing, c'est vraiment le prochain grand tournant
La puissance de calcul alimentée par de l'électricité sale finira par être éliminée, l'idée de Kite touche vraiment un point sensible
Attends, la route de perception du carbone peut-elle vraiment suivre chaque kilowattheure ? C'est un peu incertain
Merde, l'IA en mode agent consomme de l'énergie à fond 24h/24, qui paie la facture ?
Le plus important, c'est que l'énergie DePIN doit être réellement décentralisée, sinon ce sera encore du vieux vin dans de nouvelles bouteilles
La transparence de la puissance de calcul est bien plus importante que les indicateurs de performance, pourquoi personne dans l'industrie n'y prête attention ?
Les énergies propres deviennent une nécessité absolue, les mineurs doivent changer de métier, c'est évident
Cette logique a du potentiel, mais pour que l'écosystème fonctionne vraiment, il faut voir sa mise en œuvre
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MEV_Whisperer
· Il y a 8h
Le calcul vert, enfin quelqu'un qui s'y met sérieusement
Encore un concept qui semble impressionnant mais dont la véritable mise en œuvre reste à voir
Les coûts d'électricité explosent, c'est vraiment difficile à gérer, et les normes ESG pressent
La transparence énergétique est un point sensible qui touche juste, le calcul en boîte aveugle est vraiment diabolique
Cependant, l'intégration de l'interopérabilité DePIN semble assez complexe, comment les mineurs ordinaires peuvent-ils participer ?
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GasWaster
· Il y a 8h
Hé, l’émission de cinq voitures ? C’est encore la phase d’entraînement, si l’agent tourne 24 heures, il va directement brûler des chiffres astronomiques...
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On dirait encore un autre projet de marketing vert, peut-il vraiment suivre la provenance de l’énergie ?
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Ce métaphore de la puissance des boîtes surprises est géniale, personne ne se soucie vraiment de ce qu’on brûle derrière, n’est-ce pas ?
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Si on pouvait vraiment suivre de manière transparente l’empreinte carbone, les mineurs deviendraient fous.
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Ce mécanisme mis en place par Kite a l’air pas mal, mais les frais de gas ne deviendraient pas un trou noir...
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L’éclatement de l’économie des agents tout en grillant la planète, qui va payer ce compromis ?
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Donc, au final, il faut encore compter sur une infrastructure d’énergie propre pour soutenir tout ça, le web3 peut-il résoudre ce problème ?
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Suivre chaque kilowattheure ? On dirait qu’on veut encore y insérer quelque chose dans la chaîne.
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L’intégration de Energy DePIN ressemble à un transfert de problème, cela ne résout pas la consommation d’énergie elle-même.
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Mais si on pouvait vraiment attacher l’émission de carbone aux tokens de puissance de calcul, on pourrait peut-être en tirer quelque chose.
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ReverseFOMOguy
· Il y a 8h
L'énergie verte pour la puissance de calcul doit vraiment être prise en compte, sinon lorsque l'économie des agents se développera, nous devrons tous payer la facture d'électricité.
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Putain, les émissions de carbone de cinq voitures ? Ces données sont effrayantes, il faut les rendre transparentes.
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Les boîtes surprises de puissance de calcul sont vraiment absurdes, il faut savoir si l'on utilise une source d'énergie propre.
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L'idée de Kite n'est pas mal, il ne reste plus qu'à voir si elle pourra vraiment être mise en œuvre, cela pourrait devenir une barrière à la concurrence.
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Les exigences ESG des entreprises, une fois en place, la prime pour l'énergie propre décollera à coup sûr, c'est encore une nouvelle opportunité d'affaires.
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Tracer la provenance de l'énergie de manière décentralisée ? Cela doit être associé à Energy DePIN pour fonctionner.
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Un agent IA fonctionnant 24h/24, penser à la facture d'électricité donne déjà mal à la tête, il faut un mécanisme de sensibilité au carbone.
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PonziWhisperer
· Il y a 9h
Vraiment, la puissance de calcul verte doit encore afficher une garantie environnementale ? On dirait encore un nouveau point de récolte pour les novices.
La croissance rapide de l'IA est en train d'absorber de l'énergie. Les émissions de carbone générées par l'entraînement d'un grand modèle de langage équivalent aux émissions totales de cinq voitures sur toute leur durée de vie — ce chiffre est alarmant.
Actuellement, l'économie agentique (Agentic Economy) est sur le point d'exploser, des centaines de millions d'agents IA fonctionneront 24 heures sur 24 sur le réseau mondial, consommant frénétiquement de la puissance de calcul à chaque seconde. La hausse des coûts d'électricité, l'empreinte carbone explosive... ces problèmes ne sont plus des enjeux futurs, mais une réalité devant nos yeux. Pire encore, avec des normes ESG (environnement, social, gouvernance) de plus en plus strictes, les infrastructures IA au niveau entreprise pourraient faire face à des exigences obligatoires — votre puissance de calcul ne peut pas être alimentée par de "l'électricité sale", elle doit provenir d'énergie propre.
C'est le défi central que Kite AI cherche à relever : dans un marché décentralisé de la puissance de calcul, comment suivre la véritable origine de chaque kilowattheure, pour que chaque réflexion de l'IA soit verte ?
La situation est très préoccupante — le marché traditionnel de la transaction de puissance de calcul ne se soucie que d’un seul indicateur : la performance de calcul (FLOPS), peu importe quelle centrale électrique alimente ce GPU, si c’est du charbon ou de l’éolien, personne ne s’en préoccupe. La puissance de calcul que vous louez est comme une boîte à surprises, impossible de retracer son empreinte carbone. Ce manque de "transparence énergétique" rend presque impossible la réalisation d’audits carbone dans un réseau décentralisé.
C’est là que se trouve la véritable ligne de démarcation. L’innovation de Kite AI réside dans l’introduction de la couche d’exécution machine (Machine Execution Layer), et dans la conception d’un mécanisme de routage sensible au carbone (Carbon-Aware Routing). En termes simples, il s’agit de faire en sorte que la puissance de calcul ne soit plus simplement une unité de calcul froide, mais une ressource dotée d’un "certificat environnemental" — chaque unité de puissance doit inclure ses données sur la source d’énergie et ses émissions de carbone.
Au niveau de l’infrastructure, Kite AI réalise une intégration interopérable avec le réseau d’énergie DePIN (Infrastructure Physique Décentralisée), créant ainsi un écosystème de puissance de calcul transparent et traçable. Ce n’est pas seulement une mise à niveau technologique, mais le début d’une redéfinition de la valeur de la puissance de calcul.