Honnêtement, ce n'est pas un post de vantardise, mais plutôt une décomposition d'un cas réel pour que tout le monde puisse voir — comment faire passer 1200U à 51 000U, et le plus important, c'est qu'on n'a jamais été liquidé en cours de route.

Beaucoup de gens pensent d'abord : Ah, ce gars a vraiment de la chance. Mais selon moi, la chance ne représente qu'une petite partie, ce qui fonctionne vraiment, ce sont trois stratégies hardcore.

**Première astuce : Mettre les œufs dans trois paniers**

Je n'ai pas mis tout en jeu d'un coup avec 1200U, mais je l'ai divisé en trois parts de 400U :
- La première part de 400U pour le trading intraday, pour capturer les profits à court terme
- La deuxième de 400U pour le trading de tendance, attendre que la tendance soit vraiment claire avant d'agir
- La troisième de 400U pour rester en position de base, garder une marge pour faire face aux imprévus

Quel est l'avantage de cette méthode ? Même si une part perd, cela ne met pas tout en péril.

**Deuxième astuce : Ne prendre que les grosses opportunités, dormir pendant le reste**

Le marché des cryptos passe la plupart du temps en consolidation, et les opportunités vraiment rentables sont rares. Ma stratégie est simple — je reste à l'écart pendant les phases de consolidation, je ne touche pas à rien. Quand la grande tendance se dessine, je passe à l'action d’un seul coup. Cela peut faire manquer quelques petits profits, mais évite aussi d’être balayé par le marché.

**Troisième astuce : La discipline vaut plus que la technique**

Stop-loss fixé à 2 %, dès que c’est atteint, on vide la position, pas de négociation. Quand le profit atteint 4 %, je commence à réduire la position pour verrouiller le gain. Ça paraît simple, mais c’est très difficile à appliquer — il faut lutter contre sa propre cupidité et sa peur.

Ma méthode, c’est d’écrire les règles sur un papier, de les coller à l’écran. À chaque opération, je me pose la question : est-ce que cette opération respecte les règles ? Si ce n’est pas le cas, je ne la fais pas.

**Pourquoi un petit capital n’est pas une faiblesse**

Pour finir, je veux dire que commencer avec peu n’est pas un désavantage, c’est même un avantage — car le coût d’erreur est faible. L’essentiel, c’est de bien gérer le risque dès le départ, ne pas attendre d’avoir tout perdu pour se rendre compte de ses erreurs. C’est grâce à ces trois étapes que je suis passé de 1200U à 51 000U, je ne suis ni un génie ni chanceux, juste de la discipline + de la patience + une apprentissage continu.