Les bénéfices totaux des entreprises industrielles américaines s'élèvent actuellement à 3,4 billions de dollars. En se basant sur ce chiffre, on estime que les dividendes du marché boursier américain sont d'environ 2,6 billions de dollars, avec un taux de dividende légèrement supérieur à 4 %. Le rendement des obligations à 30 ans aux États-Unis doit suivre le taux de dividende.
Si la Réserve fédérale baisse ses taux, l'offre totale de liquidités sur le marché augmentera, ce qui entraînera une hausse des dividendes du marché boursier, une augmentation des dividendes, et naturellement une hausse des taux obligataires. Donc, une baisse des taux ne peut pas entraîner une baisse des taux des obligations à long terme ; une baisse erronée des taux n'a pas beaucoup d'effet.
Ainsi, le taux des obligations à long terme est déterminé par la croissance du PIB nominal, c'est-à-dire par le taux de dividende, et non par le taux directeur. On peut même dire que le taux des obligations à court terme est également fortement influencé par la croissance du PIB nominal.
Penser que le taux des obligations à long terme est déterminé par le taux directeur est sans aucun doute une idée erronée, une logique fondamentale incorrecte.
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Les bénéfices totaux des entreprises industrielles américaines s'élèvent actuellement à 3,4 billions de dollars. En se basant sur ce chiffre, on estime que les dividendes du marché boursier américain sont d'environ 2,6 billions de dollars, avec un taux de dividende légèrement supérieur à 4 %. Le rendement des obligations à 30 ans aux États-Unis doit suivre le taux de dividende.
Si la Réserve fédérale baisse ses taux, l'offre totale de liquidités sur le marché augmentera, ce qui entraînera une hausse des dividendes du marché boursier, une augmentation des dividendes, et naturellement une hausse des taux obligataires. Donc, une baisse des taux ne peut pas entraîner une baisse des taux des obligations à long terme ; une baisse erronée des taux n'a pas beaucoup d'effet.
Ainsi, le taux des obligations à long terme est déterminé par la croissance du PIB nominal, c'est-à-dire par le taux de dividende, et non par le taux directeur. On peut même dire que le taux des obligations à court terme est également fortement influencé par la croissance du PIB nominal.
Penser que le taux des obligations à long terme est déterminé par le taux directeur est sans aucun doute une idée erronée, une logique fondamentale incorrecte.