Fin 2025, un phénomène intéressant émerge — les rapports de perspectives annuelles de plus de 30 des principales institutions financières mondiales pointent tous vers la même conclusion : le marché des actifs cryptographiques traverse une transformation profonde.

Pour faire simple, les jours où l’on pouvait profiter de l’euphorie des petits investisseurs, du trading à effet de levier massif et de la spéculation basée sur des histoires, sont vraiment révolus. Les investisseurs institutionnels parient généralement que 2026 sera une année charnière — la réglementation se met en place progressivement, les institutions utilisent les actifs cryptographiques pour couvrir les risques macroéconomiques, et les applications technologiques concrètes commencent à se déployer. Ces trois forces propulseront le marché vers une nouvelle étape. Dans le secteur, on appelle cette période « phase d’industrialisation ».

Mais ce qui est intéressant, c’est que derrière ce consensus se cache en réalité une forte compétition. La volatilité du Bitcoin sera-t-elle moins importante que celle d’NVIDIA ? La menace de l’informatique quantique doit-elle être anticipée dès maintenant ou peut-on encore attendre ? Qui sera le grand gagnant dans la couche de paiement basée sur l’IA ? Sur ces questions, les opinions des grandes institutions divergent encore.

Et la question centrale est : en 2026, où l’argent va-t-il couler ? Les investisseurs particuliers doivent-ils se positionner comment face à cette transition ?