En observant les cycles des matières premières au cours des dernières décennies, vous remarquerez un ordre de lancement presque immuable.
Généralement, l’or donne le coup d’envoi en premier, suivi de près par l’argent pour rattraper le retard. Ensuite, le cuivre commence à s’agiter, et une fois que le cuivre se renforce, l’aluminium et l’ensemble du secteur des métaux non ferreux sont entraînés. À ce stade, il semble que la "tempête métallique" du marché des matières premières soit inévitable, mais la véritable transmission systémique ne fait que commencer.
Le pétrole brut intervient souvent en milieu de cycle, entraînant une hausse globale des coûts énergétiques. Vient ensuite le gaz naturel, les deux se transmettant et se renforçant mutuellement. À ce moment-là, la pression sur les coûts devient difficile à dissimuler.
Enfin, ce sont des produits agricoles comme le soja et le maïs qui suivent, et c’est à ce moment que la hausse du coût de la vie commence vraiment à se faire sentir par le grand public. En résumé : or → argent → cuivre → aluminium → pétrole → gaz → alimentation.
Il y a bien sûr des interactions et des divergences — lorsque le cuivre démarre, les autres métaux non ferreux ne peuvent plus rester inactifs, et l’énergie se renforce aussi mutuellement — mais cette grande séquence est rarement complètement bouleversée, il s’agit la plupart du temps d’un simple changement de rythme.
Et le BTC ? En tant que représentant extrême des actifs risqués, il est toujours le dernier à sortir. Mais c’est aussi parce qu’il est le dernier que ses gains sont souvent les plus violents. Cette règle a été vérifiée à plusieurs reprises sur plusieurs cycles, et est devenue un indicateur invisible de la liquidité macroéconomique.
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Whale_Whisperer
· Il y a 8h
La stratégie consistant à utiliser l'or, l'argent et le cuivre est un sujet récurrent, mais la clé reste de savoir quand le BTC passera à l'action.
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ApeWithAPlan
· Il y a 9h
L'or, l'argent et le cuivre dansent successivement, et enfin le BTC prend le relais, ce qui est une logique effrayante de clarté
En observant les cycles des matières premières au cours des dernières décennies, vous remarquerez un ordre de lancement presque immuable.
Généralement, l’or donne le coup d’envoi en premier, suivi de près par l’argent pour rattraper le retard. Ensuite, le cuivre commence à s’agiter, et une fois que le cuivre se renforce, l’aluminium et l’ensemble du secteur des métaux non ferreux sont entraînés. À ce stade, il semble que la "tempête métallique" du marché des matières premières soit inévitable, mais la véritable transmission systémique ne fait que commencer.
Le pétrole brut intervient souvent en milieu de cycle, entraînant une hausse globale des coûts énergétiques. Vient ensuite le gaz naturel, les deux se transmettant et se renforçant mutuellement. À ce moment-là, la pression sur les coûts devient difficile à dissimuler.
Enfin, ce sont des produits agricoles comme le soja et le maïs qui suivent, et c’est à ce moment que la hausse du coût de la vie commence vraiment à se faire sentir par le grand public. En résumé : or → argent → cuivre → aluminium → pétrole → gaz → alimentation.
Il y a bien sûr des interactions et des divergences — lorsque le cuivre démarre, les autres métaux non ferreux ne peuvent plus rester inactifs, et l’énergie se renforce aussi mutuellement — mais cette grande séquence est rarement complètement bouleversée, il s’agit la plupart du temps d’un simple changement de rythme.
Et le BTC ? En tant que représentant extrême des actifs risqués, il est toujours le dernier à sortir. Mais c’est aussi parce qu’il est le dernier que ses gains sont souvent les plus violents. Cette règle a été vérifiée à plusieurs reprises sur plusieurs cycles, et est devenue un indicateur invisible de la liquidité macroéconomique.