Fin d'année, faisons le point sur la performance, beaucoup ont présenté de beaux résultats. Honnêtement, je suis à la fois impressionné et un peu envieux.

Mais en y réfléchissant bien, la plus grande leçon de 2025 n'est pas le chiffre des gains, mais d'avoir appris à avoir une bonne connaissance de soi — refuser cette illusion de pouvoir tout faire, et concentrer ses efforts sur ce que l'on comprend vraiment, ce que l'on maîtrise réellement. La satisfaction de ce que l'on a mène à une vie plus stable.

Voici quelques exemples.

Par exemple, faut-il suivre le mouvement des actions américaines et japonaises ? Nous avons déjà hésité à ce sujet. Les données sont là — au 29 décembre, le Nasdaq a augmenté de 22,18 %, le Nikkei 225 de 26,65 %. Ça paraît attrayant, non ?

Mais en y repensant, notre compréhension de ces marchés, la rapidité d'accès à l'information, ne peuvent pas rivaliser avec celles des institutions professionnelles. Depuis le début de l'année jusqu'à maintenant, ces deux marchés n'ont cessé de monter, ce qui nous fait craindre davantage un risque de correction à venir. En revanche, après des fluctuations évidentes, le marché intérieur offre actuellement de nombreuses opportunités, la valeur est évidente.

Donc, au final, nous avons décidé de revenir à la règle de base : puisque les opportunités à l'étranger ne nous font pas vibrer, autant ne pas participer, et garder nos ressources pour ce que nous comprenons vraiment.

Une logique similaire se retrouve dans la compréhension des actifs cycliques. Nous avons commencé à y prêter attention de manière systématique à la mi-année, en augmentant progressivement notre allocation…