Les problèmes sur la chaîne ne sont souvent pas dus à la technologie elle-même, mais à des erreurs dans les données.

Les fluctuations de prix, les changements de réserve, l’état des actifs, voire certains nombres aléatoires apparemment insignifiants, peuvent instantanément influencer des millions de fonds dès qu’ils sont utilisés ou référencés. C’est pourquoi des services de données comme les oracles sont particulièrement cruciaux dans l’écosystème TRON.

Ce que fait WINkLink, c’est en réalité une seule chose : transformer ces éléments incertains du monde réel en données vérifiables et fiables sur la chaîne. Une fois que l’incertitude du monde extérieur est digérée en certitude sur la chaîne, l’application dispose d’une base plus solide.

Une réaction en chaîne très intéressante — une fois que la couche de données devient fiable, les mécanismes de prêt et de liquidation peuvent fonctionner en toute confiance, l’algorithme des stablecoins devient plus stable, et la valorisation des actifs plus précise. Ainsi, des fonds réels et des produits complexes peuvent continuer à affluer dans l’écosystème. On peut voir cela comme un processus de construction d’une "infrastructure de confiance" : la transparence des données, la redondance suffisante, la gestion des anomalies sont améliorées, et les participants au marché osent alors opérer à long terme dans le protocole.

Lors de la sélection de projets, on peut considérer la "capacité mature à dépendre de données" comme un indicateur clé. Ce n’est pas une idée creuse, cela détermine directement jusqu’où le protocole peut aller et quelle en est la taille. À court terme, cela peut ne pas sembler très spectaculaire, mais à long terme, ce genre d’investissement prouve presque toujours sa valeur.