Récemment, je me suis intéressé à un projet intéressant — l’application d’actifs réels (RWA) dans le domaine des véhicules électriques (VE). Une entreprise automobile a lancé une solution de tokenisation, dont l’idée centrale est de convertir 500 millions de dollars de précommandes EV en actifs sur la blockchain, permettant aux participants du monde entier de partager les bénéfices de la croissance de l’industrie.
La logique de cette solution est en réalité assez claire. Dans le modèle de financement traditionnel, la relation entre l’utilisateur et l’entreprise est plutôt simple — acheter une voiture, sans beaucoup de sentiment de participation ni de lien direct avec les bénéfices. Grâce à la tokenisation RWA, chaque détenteur de tokens devient en fait un co-constructeur de l’écosystème. Lorsque l’entreprise livre plus de commandes, la valeur du token devrait théoriquement augmenter.
D’un point de vue des données, il y a quelques éléments de support : plus de 10 000 précommandes confirmées, une entreprise cotée au Nasdaq, un financement cumulé de 3,53 milliards de dollars. Ce sont des informations vérifiables, pas du vent. Ils prévoient de tokeniser cette précommande réelle via RWA, avec une valeur initiale fixée à 100 millions de dollars.
Ce qui est intéressant, c’est que cet exemple reflète une nouvelle idée pour l’utilisation des RWA dans l’industrie réelle — comment faire en sorte que les actifs sur la blockchain et la livraison réelle forment une boucle fermée. Mais cela soulève aussi des questions importantes : comment la valeur du token est-elle réellement liée au volume de livraison ? Comment éviter que le risque lié aux précommandes ne soit transféré aux détenteurs de tokens ? Et comment ce type de projet doit-il être positionné en termes de conformité réglementaire ?
Du point de vue de l’investissement, l’équipe prévoit d’atteindre une capitalisation de 100 milliards de dollars d’ici 2027. L’hypothèse derrière ce chiffre est que, si l’industrie des véhicules électriques continue de croître et que les précommandes se transforment en livraisons, la demande pour ces tokens basés sur des actifs réels augmentera. En gros, c’est un pari sur l’avenir de l’industrie EV.
Quoi qu’il en soit, la combinaison RWA + industries émergentes est effectivement une tendance chaude dans les discussions Web3 actuelles. Ce cas constitue une mise en pratique concrète, qui mérite d’être suivie de près.
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StealthMoon
· Il y a 4h
Tiens, RWA et construction de voitures, cette combinaison est vraiment exceptionnelle
Attends, comment une précommande peut-elle devenir un actif directement ? Qui assume le risque ?
Une capitalisation boursière de plusieurs milliards d'euros semble impressionnante, mais peut-elle vraiment soutenir 10 000 commandes, c'est vraiment incertain
Mais il faut admettre que cette approche est beaucoup plus fiable que les projets purement virtuels
Le problème, c'est la difficulté de livraison, comment peuvent-ils garantir de ne pas devenir la prochaine blague de xx construction de voitures ?
Du point de vue logique, ce n'est pas mal, tout dépend si l'équipe est fiable ou non, qui peut savoir de nos jours
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zkNoob
· Il y a 4h
Encore une histoire de "tokenisation d'actifs réels", on a l'impression que le scénario est un peu familier
Parier sur l'avenir de l'industrie des véhicules électriques ou parier sur la non-fuite des entreprises, lequel comporte le plus de risques ?
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CryingOldWallet
· Il y a 5h
Ça a l'air pas mal, mais cette pré-commande peut-elle vraiment être livrée à 100% ?
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Une valorisation de 10 milliards d'euros d'ici 2027 ? J'ai l'impression que c'est un peu optimiste...
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La voie RWA, enfin quelqu'un qui la prend au sérieux, mais il faut surveiller de près le transfert de risque
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Une commande de 5 milliards de dollars, ce n'est pas énorme, qu'est-ce qui pourrait faire du bruit en la mettant en chaîne ?
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Le principal reste la livraison, si la valeur du jeton ne suit pas la vitesse de livraison, c'est de la ponction de veaux
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Cette logique est vraiment nouvelle, mais la régulation risque de lui donner une claque
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Hum... Et si l'industrie traverse une période difficile, les détenteurs ne vont-ils pas prendre le relais ?
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L'approbation de Nasdaq, ça sonne bien, mais cela ne change pas la nature risquée des pré-commandes
Récemment, je me suis intéressé à un projet intéressant — l’application d’actifs réels (RWA) dans le domaine des véhicules électriques (VE). Une entreprise automobile a lancé une solution de tokenisation, dont l’idée centrale est de convertir 500 millions de dollars de précommandes EV en actifs sur la blockchain, permettant aux participants du monde entier de partager les bénéfices de la croissance de l’industrie.
La logique de cette solution est en réalité assez claire. Dans le modèle de financement traditionnel, la relation entre l’utilisateur et l’entreprise est plutôt simple — acheter une voiture, sans beaucoup de sentiment de participation ni de lien direct avec les bénéfices. Grâce à la tokenisation RWA, chaque détenteur de tokens devient en fait un co-constructeur de l’écosystème. Lorsque l’entreprise livre plus de commandes, la valeur du token devrait théoriquement augmenter.
D’un point de vue des données, il y a quelques éléments de support : plus de 10 000 précommandes confirmées, une entreprise cotée au Nasdaq, un financement cumulé de 3,53 milliards de dollars. Ce sont des informations vérifiables, pas du vent. Ils prévoient de tokeniser cette précommande réelle via RWA, avec une valeur initiale fixée à 100 millions de dollars.
Ce qui est intéressant, c’est que cet exemple reflète une nouvelle idée pour l’utilisation des RWA dans l’industrie réelle — comment faire en sorte que les actifs sur la blockchain et la livraison réelle forment une boucle fermée. Mais cela soulève aussi des questions importantes : comment la valeur du token est-elle réellement liée au volume de livraison ? Comment éviter que le risque lié aux précommandes ne soit transféré aux détenteurs de tokens ? Et comment ce type de projet doit-il être positionné en termes de conformité réglementaire ?
Du point de vue de l’investissement, l’équipe prévoit d’atteindre une capitalisation de 100 milliards de dollars d’ici 2027. L’hypothèse derrière ce chiffre est que, si l’industrie des véhicules électriques continue de croître et que les précommandes se transforment en livraisons, la demande pour ces tokens basés sur des actifs réels augmentera. En gros, c’est un pari sur l’avenir de l’industrie EV.
Quoi qu’il en soit, la combinaison RWA + industries émergentes est effectivement une tendance chaude dans les discussions Web3 actuelles. Ce cas constitue une mise en pratique concrète, qui mérite d’être suivie de près.