OpenAI vient de lancer Sora 2 avec la capacité de créer des sons synchronisés avec la vidéo et la fonctionnalité "cameo", permettant d'insérer des images de vraies personnes – des célébrités, des influenceurs jusqu'au CEO Sam Altman – dans des clips AI.
En quelques heures, les réseaux sociaux sont inondés de deepfakes et de mèmes : des publicités NSFW, des parodies d'anime romantique, jusqu'à Altman transformé en personnage de Yu-Gi-Oh ou le mème Skibidi Toilet.
Les avocats mettent en garde que Sora remet en question le droit d'auteur et la vie privée, en permettant par défaut l'utilisation d'images, de personnages et de marques, sauf si le propriétaire choisit activement de "se désinscrire". Cela est considéré comme un "renversement de la loi sur le droit d'auteur" et difficile à contrôler.
Les utilisateurs expérimentent également rapidement les limites NSFW avec des scènes de films suggestifs, des publicités pour des jouets sexuels et des fêtes fictives, malgré le filtre de censure.
Lancé comme une plateforme de médias synthétiques (synthetic media), Sora 2 a immédiatement transformé les réseaux sociaux en "machine de remix populaire" dans les 24 premières heures, soulevant la question : est-ce une nouvelle ère de création ou un chaos mondial des droits d'auteur ?
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
En seulement 24h, OpenAI Sora 2 a transformé les réseaux sociaux en un énorme "machine à remix".
OpenAI vient de lancer Sora 2 avec la capacité de créer des sons synchronisés avec la vidéo et la fonctionnalité "cameo", permettant d'insérer des images de vraies personnes – des célébrités, des influenceurs jusqu'au CEO Sam Altman – dans des clips AI.
En quelques heures, les réseaux sociaux sont inondés de deepfakes et de mèmes : des publicités NSFW, des parodies d'anime romantique, jusqu'à Altman transformé en personnage de Yu-Gi-Oh ou le mème Skibidi Toilet.
Les avocats mettent en garde que Sora remet en question le droit d'auteur et la vie privée, en permettant par défaut l'utilisation d'images, de personnages et de marques, sauf si le propriétaire choisit activement de "se désinscrire". Cela est considéré comme un "renversement de la loi sur le droit d'auteur" et difficile à contrôler.
Les utilisateurs expérimentent également rapidement les limites NSFW avec des scènes de films suggestifs, des publicités pour des jouets sexuels et des fêtes fictives, malgré le filtre de censure.
Lancé comme une plateforme de médias synthétiques (synthetic media), Sora 2 a immédiatement transformé les réseaux sociaux en "machine de remix populaire" dans les 24 premières heures, soulevant la question : est-ce une nouvelle ère de création ou un chaos mondial des droits d'auteur ?