Qu'est-ce qui inquiète vraiment les superviseurs bancaires ? Ce n'est plus qu'une seule chose. Nous assistons à une tempête parfaite qui se prépare : des tensions géopolitiques fragmentant les marchés, des courbes démographiques se ployant de manière inattendue, une disruption technologique s'accélérant plus vite que les réglementations ne peuvent suivre, et des menaces cybernétiques évoluant quotidiennement. Ce ne sont pas des problèmes isolés. Ce sont des risques interconnectés qui pourraient se propager à travers le système financier. Le message des régulateurs est clair : l'adaptation constante n'est pas optionnelle. Les cadres de supervision doivent évoluer aussi rapidement que les menaces elles-mêmes. Les banques opérant dans cet environnement font face à un profil de risque fondamentalement différent de celui d'il y a même cinq ans, et les mécanismes de surveillance doivent refléter cette réalité.
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TerraNeverForget
· Il y a 20h
Je suis entièrement d'accord, l'époque où la régulation ne suit pas est arrivée.
La régulation est toujours en retard, elle ne se rend compte des failles qu'au moment où tout s'effondre.
Il y a trop de problèmes, géopolitique + population + technologie + Hacker, qui peut résister à cette combinaison ?
Le profil de risque des banques a tellement changé ces cinq dernières années, mais le cadre réglementaire utilise encore de vieilles méthodes... il est étonnant qu'il n'y ait pas de problèmes.
Pour faire simple, le risque s'accélère, les règles prennent du retard, qui va combler les lacunes ?
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gas_fee_therapist
· 11-28 13:04
ngl le mécanisme de régulation ne suit pas cette vague d'itérations de risque, les banques jouent vraiment avec le feu
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Géopolitique + structure démographique + explosion technologique + intrusion de hackers, le quatuor frappe directement le système financier, ce n'est pas un rythme que la régulation peut tenir
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Le cadre de gestion des risques d'il y a cinq ans est juste un décor aujourd'hui, le marché a déjà changé les règles du jeu
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Les régulateurs sont inquiets mais n'ont pas vraiment de solution, la vitesse d'adaptation ne pourra jamais suivre l'évolution des risques
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L'expression tempête parfaite n'est pas exagérée, l'accumulation des risques est vraiment le coup dur
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C'est pourquoi on dit que le secteur bancaire est si profond... les règles changent chaque jour mais sont toujours en retard d'un pas
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Parler de mise à niveau du cadre, c'est facile, mais en pratique, toutes les grandes institutions tâtonnent dans l'obscurité
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BtcDailyResearcher
· 11-28 12:55
Les régulateurs semblent un peu pressés cette fois-ci, les règles ne peuvent jamais rattraper le rythme des risques... En d'autres termes, c'est comme un jeu de taupe, on appuie sur l'un et un autre apparaît.
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GasFeeBeggar
· 11-28 12:44
Ngl, la régulation de ce piège ne peut vraiment pas suivre la vitesse d'itération de la technologie, le cadre de gestion des risques d'il y a cinq ans aurait dû prendre sa retraite.
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GateUser-addcaaf7
· 11-28 12:43
La régulation qui ne suit pas la technologie, c'est vraiment incroyable, c'est complètement le rythme de "papa qui ne rattrape pas son fils".
Les règles sont encore écrites sur papier, les hackers sont déjà dans le ciel, les banques sont sous une énorme pression.
Géopolitique, crise démographique, explosion technologique, menaces cybernétiques... tout cela ensemble, le système a probablement déjà craqué.
Plutôt que de dire que le cadre doit évoluer, il vaudrait mieux dire que les règles actuelles sont déjà obsolètes, n'est-ce pas ?
La ligne de défense d'il y a cinq ans est juste un décor aujourd'hui, pas étonnant que les pros aient du mal à dormir.
À mon avis, tous ces risques, c'est jouer avec le feu, au final, quelqu'un devra assumer les conséquences.
Qu'est-ce qui inquiète vraiment les superviseurs bancaires ? Ce n'est plus qu'une seule chose. Nous assistons à une tempête parfaite qui se prépare : des tensions géopolitiques fragmentant les marchés, des courbes démographiques se ployant de manière inattendue, une disruption technologique s'accélérant plus vite que les réglementations ne peuvent suivre, et des menaces cybernétiques évoluant quotidiennement. Ce ne sont pas des problèmes isolés. Ce sont des risques interconnectés qui pourraient se propager à travers le système financier. Le message des régulateurs est clair : l'adaptation constante n'est pas optionnelle. Les cadres de supervision doivent évoluer aussi rapidement que les menaces elles-mêmes. Les banques opérant dans cet environnement font face à un profil de risque fondamentalement différent de celui d'il y a même cinq ans, et les mécanismes de surveillance doivent refléter cette réalité.